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Les limites de l'ACES

L’ACES, sur le papier, reste une bonne solution face au problème d'étalonnage. Peu importe le projet, le nombre de caméras différentes ou le nombre de supports de diffusion, avec ou sans métadonnée, l’ACES s'impose comme une alternative simple et efficace en post-production.

 

Cependant, son utilisation dans l'audiovisuel aujourd’hui reste mineure. Là où Netflix a dans son cahier des charges l’ACES, avec un export en ACES, cette technologie n’est dans aucun cahier des charges de grands studios de cinéma français, et des studios comme Studio Canal ne demandent pas d’export en ACES, gardant la demande de trois masters différents, avec un pour l’archivage, un pour le cinéma, et un dernier pour la télévision / streaming.

 

Qu’est-ce qui fait que l’ACES est peu implanté dans le paysage audiovisuel français?

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